La Capoeira
La Capoeira est l’un des aspects les plus fascinants de la culture brésilienne. Art de lutter dans la danse et de danser au sein de la lutte, elle est avant tout un jeu.
Sa richesse provient de la rencontre entre les diverses cultures africaines sur le territoire du Brésil durant trois cents années d’esclavage.
Les esclaves inventèrent cette forme d’échange unique : La Capoeira, dans laquelle les joueurs sont à la fois des athlètes, des danseurs, des acrobates, des farceurs, des comédiens et des musiciens.
Autrefois interdite et réprimée, et ce même après l’abolition de l’esclavage, la Capoeira ne sera autorisée par le gouvernement brésilien qu’en 1937. Elle est alors enfin reconnue pour ses valeurs culturelles, éducatives, créatives et artistiques.
Les Capoeiristes sont soutenus par les rythmes des percussions, les chants et les frappes des mains des autres Capoeiristes. Ces derniers forment un cercle que l’on nomme « Roda » et qui délimite l’aire de jeu.
Au sein de cette « Roda », deux personnes jouent, improvisent et créent un dialogue corporel. Les instruments font varier les cadences, les chants envoient des messages, des avertissements ou des conseils. Ils peuvent commenter le jeu ou raconter des histoires légendaires de la Capoeira.
De tout cet ensemble résulte une intense synergie, un grand échange entre les participants quel que soit leur niveau, et un jeu envoûtant d’une extrême beauté !
Sa richesse provient de la rencontre entre les diverses cultures africaines sur le territoire du Brésil durant trois cents années d’esclavage.
Les esclaves inventèrent cette forme d’échange unique : La Capoeira, dans laquelle les joueurs sont à la fois des athlètes, des danseurs, des acrobates, des farceurs, des comédiens et des musiciens.
Autrefois interdite et réprimée, et ce même après l’abolition de l’esclavage, la Capoeira ne sera autorisée par le gouvernement brésilien qu’en 1937. Elle est alors enfin reconnue pour ses valeurs culturelles, éducatives, créatives et artistiques.
Les Capoeiristes sont soutenus par les rythmes des percussions, les chants et les frappes des mains des autres Capoeiristes. Ces derniers forment un cercle que l’on nomme « Roda » et qui délimite l’aire de jeu.
Au sein de cette « Roda », deux personnes jouent, improvisent et créent un dialogue corporel. Les instruments font varier les cadences, les chants envoient des messages, des avertissements ou des conseils. Ils peuvent commenter le jeu ou raconter des histoires légendaires de la Capoeira.
De tout cet ensemble résulte une intense synergie, un grand échange entre les participants quel que soit leur niveau, et un jeu envoûtant d’une extrême beauté !
PARTICIPONS AU PROLONGEMENT DE LA MÉMOIRE COLLECTIVE !
La Roda de Capoeira a été enregistrée sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
La Roda de Capoeira a été enregistrée sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité